lundi 23 février 2009

Monsieur Ibrahim et le fleurs du Coran


Mon avis: 4/5
Film de Francois Dupeyron
Sortie : 17 septembre 2003

Francois Dupeyron nous montre dans ce film une adaptation du livre écrit par Eric-Emmanuel Schmitt. C'est une comédie dramatique française qui a remporté plusieurs prix: César 2004 et Golden Globes 2004.
Dans les années soixante, un gamin solitaire d'origine juif (Moïse (Momo)) habite avec son père, un avocat juif neurasthénique dans la rue Bleue dans un quartier pauvre à Paris. II commence á vivre la vie avec des prostituées qui travaillent dans une rue proche. Un jour il fait connaissance avec un vieil homme persan, musulman excentrique (Monsieur Ibrahim) qui tient une épicerie dans son quartier et ils font une belle amitié. Monsieur Ibrahim fait changer la vie du jeune homme sous son aile. Il lui montre le monde islamique, la sagesse du soufisme (la voie ésotérique de l'islam) grâce au Coran. II lui apprend à apprécier la beauté du monde, le sens de la vie, la gaieté de vivre et le plaisir d'écouter les gens. II lui donne un précieux cadeau qui fera le futur de Moïse.
II s'agit d'un film avec une histoire simple qui transmet avec un charme irrésistible beaucoup de sentiments et de réflexions essentielles.
Je vous conseille de regarder ce beau film pour apprécier son message et y réfléchir.

Victoria Martínez

1 commentaire:

Anonyme a dit…

J'ai bien aimé ce film. Je le donne 4/5.
J'ai apprécié comment Monsieur Ibrahim donnait de la couleur à la triste vie de Momo. Le vieil homme lui montre comment c'est possible de s'amuser pendant tous les petits moments de notre vie, même en travaillant. Monsieur Ibrahim lui apprend l'importance d'être conforme avec ce que nous avons et que nous n'avons pas besoin des grandes choses pour être heureux.
Le persan lui raconte que ce que nous aimons nous appartient et que le gens que nous aimons sont toujours avec nous.
Je suis sûre que si vous regardez ce film vous apprendrez quelque chose de nouveau ou au moins vous écouterez quelque réflexion interéssante.

Marta Córdoba