L'hymne à l'amour
Le ciel bleu sur nous peut s'effondrer Et la terre peut bien s'écrouler Peu m'importe si tu m'aimes Je me fous du monde entier Tant qu'l'amour inond'ra mes matins Tant que mon corps frémira sous tes mains Peu m'importe les problèmes Mon amour puisque tu m'aimes J'irais jusqu'au bout du monde Je me ferais teindre en blonde Si tu me le demandais J'irais décrocher la lune J'irais voler la fortune Si tu me le demandais Je renierais ma patrie Je renierais mes amis Si tu me le demandais On peut bien rire de moi Je ferais n'importe quoi Si tu me le demandais Si un jour la vie t'arrache à moi Si tu meurs que tu sois loin de moi Peu m'importe si tu m'aimes Car moi je mourrais aussi Nous aurons pour nous l'éternité Dans le bleu de toute l'immensité Dans le ciel plus de problèmes Mon amour crois-tu qu'on s'aime Dieu réunit ceux qui s'aiment |
La foule
Je revois la ville en fête et en délire Suffoquant sous le soleil et sous la joie Et j'entends dans la musique les cris, les rires Qui éclatent et rebondissent autour de moi Et perdue parmi ces gens qui me bousculent Étourdie, désemparée, je reste là Quand soudain, je me retourne, il se recule, Et la foule vient me jeter entre ses bras... Emportés par la foule qui nous traîne Nous entraîne Écrasés l'un contre l'autre Nous ne formons qu'un seul corps Et le flot sans effort Nous pousse, enchaînés l'un et l'autre Et nous laisse tous deux Épanouis, enivrés et heureux. Entraînés par la foule qui s'élance Et qui danse Une folle farandole Nos deux mains restent soudées Et parfois soulevés Nos deux corps enlacés s'envolent Et retombent tous deux Épanouis, enivrés et heureux... |
Milord
Allez venez! Milord Vous asseoir à ma table Il fait si froid dehors Ici, c'est confortable Laissez-vous faire, Milord Et prenez bien vos aises Vos peines sur mon cœur Et vos pieds sur une chaise Je vous connais, Milord Vous ne m'avez jamais vue Je ne suis qu'une fille du port Une ombre de la rue... Allez venez! Milord Vous avez l'air d'un môme Laissez-vous faire, Milord Venez dans mon royaume Je soigne les remords Je chante la romance Je chante les milords Qui n'ont pas eu de chance Regardez-moi, Milord Vous ne m'avez jamais vue... Mais vous pleurez, Milord Ça, j' l'aurais jamais cru. |
6 commentaires:
Génial Jesús! J’ai bien profité avec ton interprétation. Mes félicitations pour toi! Par contre et pour être sincère je dois dire que dans le dernier vidéo les choristes ne sont pas à l’hauteur de l’artiste. Bravo à tous !
Chère Nela,
J´étais habitué à la phrase de : "Jesús, mon roi, je veux avoir un enfant avec toi", mais je n'avais jamais écouté les choses aussi jolies que tu m'as dit dans ton commentaire, tu as osé écrire dans le blog (sans anonymes) et de plus l'as fait en français. Si en plus de cela, les ces affirmations ont eu un point de sincérité, je te le remercierai éternellement.
Merci d´être comme tu es!!!
Une fois de plus, je suis restée bouche bée!
Tu as pensé à changer de métier...?
J'espère bien que la prochaine fois que tu décideras de montrer ton talent en public, tu préviendras au moins ton ancienne prof !
Maite,
"Celui qui à un bon arbre s'appuie, une bonne ombre le couvre"... J'ai eu la grande chance de me couvrir pendant trois ans sous l'ombre de ton talent dans cette langue.
Bien que mon répertoire en français ne soit pas encore très ample, si qu´il possède certaine chanson d'Alizée ou Garou pour t´amuser bien, sans oublier ma spécialité a l´heure d´interpreter les sévillanes dans la langue de Sarkozy.
Maite, tu es "la tige d´Espagne" (LA CAÑA DE ESPAÑA) et comme le boléro a dit: "Si tu me dis...viens!, tu sais bien que je le laisserai tout." (JESÚS)
Bravo Jesus! Bravo!!=)
Bravo Jesús!
Ça fait longtemps que je ne jette pas un coup d’œil à cette merveilleuse page de français (plus ou moins un an)
Félicitations à toi Jesús et aussi à Ana qui a réussi que tout le monde veuille aller aux cours de l'École. À moi, le cours de Français me manque beaucoup !
(Je m’excuse pour les fautes d’orthographe mais j’oublie tellement vite...)
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